« Regard fatigué » : que peut la médecine esthétique pour la zone des yeux ?

23 avril 2025

C’est souvent la première chose qu’on remarque chez quelqu’un : son regard. Et quand il paraît fatigué, bouffi ou creusé, même une bonne nuit de sommeil n’y change rien. Pourquoi la zone des yeux nous trahit-elle si vite ? Que peut-on faire pour y remédier ? Le Dr Jérôme Quezel Guerraz, expert en médecine esthétique à Perpignan, nous éclaire.

Dr Quezel Guerraz, pourquoi la zone du regard est-elle si souvent source de complexes ?


Parce que c’est une zone très exposée et extrêmement fine. La peau y est quatre fois plus fine que sur le reste du visage. Elle marque donc plus vite : cernes, poches, affaissement… tout s’y lit en premier. Et comme le regard transmet les émotions, un aspect fatigué peut donner une mauvaise image, même quand on va très bien.


Les cernes sont souvent le premier motif de consultation. D’où viennent-ils ?


Il y a plusieurs types de cernes. Les cernes bleutés ou violacés sont souvent d’origine vasculaire : on voit la microcirculation à travers la peau très fine. Les cernes creux, eux, sont liés à une perte de volume sous l’œil, soit avec l’âge, soit de manière constitutionnelle. On peut aussi avoir une pigmentation brune qui donne un effet “cerne” permanent. Dans beaucoup de cas, ces facteurs se combinent.


Et les poches sous les yeux ?


Elles sont souvent d’origine génétique. Ce sont des hernies de graisse qui s’accumulent sous l’œil. Avec le temps, la tonicité des tissus diminue, et ces poches deviennent plus visibles. On peut aussi avoir des poches liées à la rétention d’eau, surtout au réveil.


Quels traitements proposez-vous pour cette zone si délicate ?


Chaque regard est unique, donc chaque prise en charge doit l’être aussi. Pour les cernes creux, on utilise des injections d’acide hyaluronique très spécifique, adapté à la finesse du contour de l’œil. Cela permet de combler en douceur sans alourdir. Pour les cernes colorés, on peut proposer du laser ou des peelings ciblés. Les poches graisseuses importantes relèvent parfois de la chirurgie, mais le laser, par exemple, peut améliorer le relâchement léger à modéré.


Certains patients craignent d’avoir un regard figé ou « gonflé » après des injections. C’est fondé ?


C’est une crainte fréquente, et c’est justement pour cela qu’il faut être très prudent avec cette zone. Mal injecté, un produit peut migrer ou créer des poches artificielles. Mais bien dosé, au bon endroit, avec une bonne technique, le résultat est très naturel. L’objectif, c’est toujours de réveiller le regard, pas de le transformer.


Y a-t-il un âge idéal pour commencer à s’occuper de cette zone ?


Il n’y a pas d’âge « idéal », mais plutôt un bon moment : celui où le regard commence à trahir une fatigue qu’on ne ressent pas. On peut agir en prévention, mais aussi corriger en douceur quand les signes sont déjà là. Parfois, une simple hydratation ciblée ou une stimulation douce de la peau suffit à faire la différence.


Un dernier mot pour celles et ceux qui n’osent pas franchir le pas ?


Le plus difficile, c’est souvent de prendre le premier rendez-vous. Ensuite, tout devient plus clair. Mon rôle, c’est d’écouter, d’évaluer, et de proposer une solution adaptée, dans le respect du naturel. Parce que le plus beau regard, c’est celui qui vous ressemble.



Et lorsqu’on souhaite aller plus loin que les injections ou les peelings ? Quand on sent que ça ne suffit plus ?


C’est une question fréquente. Beaucoup de patients sentent que malgré les soins, leur regard reste fatigué, ou qu’il y a un relâchement qui persiste. Ils demandent souvent : « Est-ce qu’il existe une solution sans passer par la chirurgie ? »


Et que leur répondez-vous ?


Qu’il existe justement une alternative très intéressante : la blépharoplastie médicale au laser CO₂ fractionné. C’est une technique non chirurgicale, qui permet de traiter la paupière supérieure ou inférieure. Le laser va créer des micro-puits de chaleur dans la peau, ce qui stimule intensément la production de collagène. Résultat : on retend la peau, on lisse les ridules, on améliore la texture et, dans certains cas, on réduit même des poches modérées.



Est-ce douloureux ? Y a-t-il des suites visibles ?


Le traitement se fait sous crème anesthésiante. On peut avoir des rougeurs et de petites croûtes pendant quelques jours, mais rien de comparable à une intervention. C’est un bon compromis pour celles et ceux qui veulent des résultats visibles sans chirurgie.


Et si malgré tout, le relâchement ou les poches sont trop importants ?


Alors on évoque la chirurgie. La blépharoplastie chirurgicale reste, dans ces cas plus avancés, la solution la plus durable et efficace. Elle permet de retirer l’excès de peau ou de graisse avec beaucoup de précision, pour restaurer un regard ouvert et reposé, tout en conservant l’expression naturelle.


yeux cernes que faire ?

Et lorsqu’on souhaite aller plus loin que les injections ou les peelings ? Quand on sent que ça ne suffit plus ?


C’est une question fréquente. Beaucoup de patients sentent que malgré les soins, leur regard reste fatigué, ou qu’il y a un relâchement qui persiste. Ils demandent souvent : « Est-ce qu’il existe une solution sans passer par la chirurgie ? »


Et que leur répondez-vous ?


Qu’il existe justement une alternative très intéressante : la blépharoplastie médicale au laser CO₂ fractionné. C’est une technique non chirurgicale, qui permet de traiter la paupière supérieure ou inférieure. Le laser va créer des micro-puits de chaleur dans la peau, ce qui stimule intensément la production de collagène. Résultat : on retend la peau, on lisse les ridules, on améliore la texture et, dans certains cas, on réduit même des poches modérées.


Est-ce douloureux ? Y a-t-il des suites visibles ?


Le traitement se fait sous crème anesthésiante. On peut avoir des rougeurs et de petites croûtes pendant quelques jours, mais rien de comparable à une intervention. C’est un bon compromis pour celles et ceux qui veulent des résultats visibles sans chirurgie.


Et si malgré tout, le relâchement ou les poches sont trop importants ?


Alors on évoque la chirurgie. La blépharoplastie chirurgicale reste, dans ces cas plus avancés, la solution la plus efficace. Elle permet de retirer l’excès de peau ou de graisse avec beaucoup de précision, pour restaurer un regard ouvert et reposé, tout en conservant l’expression naturelle.


Les fils tenseurs sont une technique de médecine esthétique non chirurgicale qui permet de retendre
par Rédaction 2 juillet 2025
Qu’est-ce qu’un fil tenseur ? Un fil tenseur est un fil médical conçu pour être inséré sous la peau afin de créer une traction des tissus relâchés. Il s’agit d’une méthode non chirurgicale, réalisée sous anesthésie locale, qui permet de remonter la peau, de réactiver la synthèse de collagène et de ralentir le vieillissement cutané, tout en respectant les volumes du visage. Il existe plusieurs types de fils, dont certains sont crantés ou à cônes pour mieux s’ancrer dans les tissus. La plupart sont résorbables et fabriqués à base de matériaux biocompatibles comme le PDO (polydioxanone), le PLLA (acide polylactique) ou le PCL (polycaprolactone). Quels résultats attendre des fils tenseurs ? Le résultat est souvent visible immédiatement grâce à l’effet mécanique de traction. Mais c’est surtout dans les semaines suivantes que la peau évolue, grâce à la néocollagénèse induite par les fils. Le derme devient plus ferme, plus lisse, plus dense. Les patient(e)s peuvent généralement espérer : • Un lifting léger à modéré sans chirurgie • Une amélioration de l’ovale du visage, avec un effet « redrapé » • Un raffermissement cutané progressif (en 6 à 12 semaines) • Une tenue des résultats allant de 12 à 18 mois selon le type de fil et le profil du patient Ce n’est pas un substitut au lifting chirurgical, mais une alternative pour des relâchements modérés, avant que la chirurgie ne s’impose. Les bons candidats : pour qui est-ce indiqué ? Les fils tenseurs sont particulièrement adaptés aux patient(e)s qui présentent un début de relâchement ou un affaissement discret, mais qui conservent une bonne qualité de peau. Ils sont indiqués pour : • Des bajoues naissantes • Une perte de fermeté de l’ovale du visage • Des pommettes affaissées • Des sillons nasogéniens creusés • Une ptose des sourcils • Un cou relâché sans excès cutané majeur L’idéal ? Avoir entre 35 et 55 ans, une peau encore tonique, et chercher un effet « naturel mais visible », sans chirurgie. Quelles zones peut-on traiter ? La technique peut s’appliquer sur plusieurs zones du visage, et dans certains cas, sur le corps : Visage : Ovale du visage (bajoues, lignes mandibulaires) Pommettes Joues creuses ou tombantes Tempes et queue des sourcils Sillons nasogéniens Cou Corps (cas très ciblés) : Intérieur des bras Ventre Intérieur des cuisses Genoux Ces indications corporelles nécessitent une sélection rigoureuse du/de la patient(e) et ne sont pas la norme. Quels types de fils existe-t-il ? Il existe trois grandes familles de fils tenseurs, en fonction de leur structure et de leur objectif : 1. Les fils lisses Ils sont très fins et ne créent pas d’effet liftant mécanique. Leur but est de stimuler la production de collagène . Utilisés en « maillage » (quadrillage sous-cutané), ils améliorent la densité et la texture de la peau. Composition : PDO, parfois PLLA Résorbables en 6 à 8 mois Indication : peau fine, relâchement discret, prévention 2. Les fils crantés Ils possèdent des petits crochets ou crans qui s’accrochent dans le tissu sous-cutané pour tirer la peau et la repositionner . Ce sont les plus utilisés dans les protocoles de lifting sans chirurgie. Composition : PDO, PLLA ou PCL Résultats visibles immédiatement Tenue moyenne : 12 à 18 mois 3. Les fils à cônes (type Silhouette Soft®) Ces fils sont dotés de cônes bidirectionnels qui permettent une traction importante et une reposition du tissu facial plus prononcée . Ils sont également hautement inducteurs de collagène . Composition : acide polylactique (PLLA) Action plus intense, résultats progressifs et durables Déroulement de la séance  La pose des fils tenseurs est un acte médical réalisé au cabinet, sous anesthésie locale , en 30 à 60 minutes . Le médecin insère les fils à l’aide de canules très fines , selon un trajet précis adapté à la morphologie du visage. À la fin de la séance, le résultat est visible, même s’il peut y avoir de légers œdèmes ou ecchymoses transitoires . La reprise des activités est possible dès le lendemain, en respectant quelques précautions post-acte .
par Aurore Allemand 19 juin 2025
La blépharoplastie est une intervention esthétique, médicale ou chirurgicale, visant à corriger les signes de vieillissement au niveau des paupières (excès de peau, poches, creux). Elle peut être réalisée dès 35-40 ans, sans modifier l’expression du regard. Chirurgie ou médecine douce, le choix dépend du relâchement cutané et des attentes du patient.
par Aurore Allemand 12 juin 2025
Ouvrir le regard sans le figer La blépharoplastie médicale ne se résume pas à un seul acte, mais à une approche multimodale, individualisée, reposant sur une analyse précise du regard. Chaque paramètre (relâchement cutané, perte de volume, tonicité musculaire, vascularisation) est évalué pour définir un protocole combiné. Le laser fractionné non ablatif ou ablatif (CO2 ou Erbium selon les indications) est utilisé pour induire une rétraction dermique progressive. Il stimule la néocollagénèse en profondeur, raffermit la peau des paupières supérieures ou inférieures, et améliore la texture cutanée. L’ acide hyaluronique , injecté de façon minutieuse dans les zones de creusement comme la vallée des larmes ou le sillon nasojugal, restaure les volumes perdus et atténue les ombres responsables de l’aspect fatigué. Les toxines botuliques peuvent être utilisées en complément pour moduler l’action des muscles périoculaires. Elles permettent de décrisper certaines zones (muscle orbiculaire, zone glabellaire), sans bloquer l’expression, afin d’ouvrir le regard tout en respectant la dynamique naturelle du visage. L’objectif est simple : restaurer l’harmonie du regard, sans altérer l’identité faciale. Pas de transformation visible. Juste un visage plus lumineux, plus lisible, plus en accord avec l’énergie intérieure du patient. L’impact émotionnel du regard dans la perception sociale Les neurosciences l’ont démontré : notre cerveau décode l’état émotionnel d’un individu à travers son regard en moins de 200 millisecondes. Une paupière tombante peut être associée inconsciemment à de la tristesse, un excès de peau ou une poche à de la fatigue, une asymétrie à un déséquilibre émotionnel. Ce biais perceptif a des conséquences réelles, tant sur le plan professionnel que personnel. Il n’est pas rare que des patient(e)s consultent après avoir reçu des remarques répétées : « Tu as l’air fatigué », « Tu fais la tête », « Qu’est-ce qui ne va pas ? », alors même qu’ils se sentent en pleine forme. La médecine esthétique ne vient pas « gommer les signes du temps » par principe, mais rétablir une cohérence visuelle entre ce que le patient ressent et ce que son visage exprime. Et cela commence souvent par le regard. À qui s’adresse la blépharoplastie médicale ? Elle concerne principalement les patient(e)s présentant des signes modérés de relâchement cutané ou de fatigue du regard, mais ne souhaitant pas — ou ne pouvant pas — recourir à la chirurgie. On la propose en première intention dès la trentaine ou la quarantaine , lorsque l’élasticité cutanée commence à diminuer, ou en traitement d’entretien pour des patients plus âgés. Elle est aussi particulièrement pertinente chez les patients déjà opérés (blépharoplastie chirurgicale) qui souhaitent entretenir le résultat sans retoucher au bistouri. Chaque indication doit être évaluée de manière personnalisée : qualité de la peau, phototype, profondeur des cernes, élasticité musculaire, et attentes du patient. La blépharoplastie médicale ne remplace pas la chirurgie lorsqu’un excès cutané majeur ou une hernie graisseuse importante sont présents, mais elle permet dans de nombreux cas de repousser ou d’éviter une intervention invasive . L’un des grands avantages de cette approche est sa discrétion. Les résultats sont progressifs, naturels, et parfaitement intégrés au visage. Aucun effet figé, aucune expression artificielle. Le regard semble simplement plus ouvert, plus frais, plus attentif. Et surtout, il reste vivant. C’est souvent ce qui marque les patient(e)s : les retours positifs de l’entourage, sans qu’aucun ne sache exactement ce qui a changé. Une amélioration perceptible, mais non identifiable. C’est là que réside l’élégance d’une médecine esthétique bien dosée. 
par Aurore Allemand 3 juin 2025
Un visage, trois étages : l’équilibre des proportions En esthétique, on divise souvent le visage en trois tiers : • Le tiers supérieur : de la racine des cheveux à la glabelle (entre les sourcils), • Le tiers moyen : du front au nez, • Le tiers inférieur : de la base du nez au menton. Quand ces trois parties sont équilibrées, le visage dégage une sensation de justesse, de fluidité. Mais si le front est trop court, fuyant, plat ou bosselé, c’est tout l’équilibre visuel qui est perturbé. Le nez peut alors paraître trop long, le regard trop lourd, le menton trop saillant — même si aucun de ces éléments n’est en faute. Le front, un volume à part entière Anatomiquement, le front est une surface large, plane, très expressive , qui capte immédiatement la lumière. Il varie énormément selon les individus : Certaines personnes ont un front bombé, arrondi, souvent associé à une impression de douceur ou de jeunesse. D’autres ont un front plat, fuyant ou anguleux, ce qui peut durcir les traits ou fatiguer le regard. Avec le temps, la perte de collagène et la résorption osseuse peuvent accentuer certains creux ou irrégularités, notamment au niveau des tempes et de la glabelle. Le regard paraît alors plus lourd, plus « tombant », même si les paupières sont intactes. La médecine esthétique permet aujourd’hui : de redonner du galbe à un front plat , de corriger un creux entre les sourcils , de rééquilibrer le tiers supérieur du visage avec de l’acide hyaluronique ou des neuromodulateurs (toxine botulique). Ces gestes sont précis, doux, et ne cherchent pas à “lisser à tout prix”, mais à restaurer un volume cohérent, lumineux et expressif . L’œil des artistes : ce que les peintres de la Renaissance avaient déjà vu Dès le XVe siècle, les peintres de la Renaissance italienne ont étudié le visage humain avec une rigueur quasi scientifique. Léonard de Vinci, dans ses carnets, décompose le visage selon des proportions précises. Il cherche l’harmonie divine , ce fameux équilibre dicté par le nombre d’or (1,618). Dans leurs portraits, le front occupe toujours une place très équilibrée : ni trop grand, ni trop petit, intégré dans une logique géométrique où chaque élément (ligne de cheveux, sourcils, nez, lèvres, menton) répond à une proportion mathématique. Chez Botticelli (La Naissance de Vénus), chez Raphaël ou dans les croquis de Léonard, le front est souvent lumineux, galbé, signe d’intelligence, d’élégance et d’équilibre . Ils ne l’ont jamais traité comme un espace vide.
par Aurore Allemand 20 mai 2025
Vous hésitez à franchir le pas parce que vous entendez tout et son contraire ? C’est normal. La médecine esthétique est en plein boom, mais elle n’échappe pas aux effets de mode, aux promesses marketing exagérées… ni aux grandes déceptions. Résultat : beaucoup de patient(e)s ne savent plus où donner de la tête. Alors, que peut-on réellement attendre des soins esthétiques aujourd’hui ? Et surtout : qu’est-ce qui fonctionne vraiment — et qu’est-ce qui ne marchera jamais ? Le Dr Jérôme Quezel Guerraz, médecin esthétique à Perpignan, fait le point.
par Aurore Allemand 15 mai 2025
Les fils tenseurs sont une technique non chirurgicale qui permet de retendre la peau du visage ou du cou grâce à l’insertion de fils résorbables sous la peau. Ces fils agissent à la fois comme un lift mécanique immédiat et comme un stimulateur de collagène progressif. À Perpignan, ce traitement est utilisé pour redessiner l’ovale du visage, atténuer le relâchement et améliorer la tonicité de la peau, sans cicatrice ni anesthésie générale.
blepharoplastie medicale avant apres
par Aurore Allemand 9 mai 2025
La blépharoplastie médicale est une alternative non chirurgicale à la chirurgie des paupières. Elle permet de retendre la peau des paupières supérieures ou inférieures sans bistouri, ni cicatrice. Grâce à des technologies comme le plasma ou le laser, elle stimule la production naturelle de collagène et raffermit le regard. Cette technique est proposée à Perpignan pour traiter les paupières tombantes, les ridules ou les poches légères, avec un résultat progressif, naturel et sans interruption sociale prolongée.
En conclusion : ce qu’il faut retenir avant une injection à Perpignan
	•	L’acide hyaluronique est un
par Aurore Allemand 4 mai 2025
Acide hyaluronique à Perpignan : ce qu’il faut absolument savoir avant une injection Vous envisagez une injection d’acide hyaluronique à Perpignan ? Voici ce que vous devez absolument savoir avant de sauter le pas. Car une injection réussie, ce n’est pas qu’un produit, c’est une main. Et un regard.
par Aurore Allemand 15 avril 2025
Quels résultats attendre d’un traitement de médecine esthétique à Perpignan ? Chez le Dr Quezel Guerraz, médecin esthétique à Perpignan, les résultats sont visibles, mesurables et assumés. Grâce à une approche précise et rigoureuse, il propose des soins du visage (injections, remodelage, traitement des cernes…) qui ne transforment pas, mais révèlent. Chaque geste est guidé par un objectif clair : obtenir une amélioration réelle, perceptible, et toujours naturelle. Les photos avant/après publiées par le médecin permettent de visualiser concrètement l’impact des traitements esthétiques réalisés au cabinet.
profiloplastie
par Aurore Allemand 9 avril 2025
Rééquilibrez votre profil sans chirurgie grâce à la profiloplastie médicale : nez, menton, mâchoire… un visage harmonieux en quelques injections.
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