Blépharoplastie : ce qu’il faut absolument savoir avant de vous lancer

19 juin 2025

Un jour, on se regarde dans le miroir, et ce n’est pas la fatigue qu’on voit, mais une impression de lourdeur. Le regard semble fermé, alourdi par des paupières tombantes, des poches sous les yeux, ou cette peau en trop qui trahit les années – ou le stress, ou les nuits écourtées, ou rien du tout. Car ce qui pèse, ce n’est pas forcément la vie, c’est parfois juste l’air du temps sur la peau.


C’est là qu’intervient la blépharoplastie.


Bien plus qu’un simple geste esthétique, la blépharoplastie, c’est une promesse discrète. Celle de retrouver un regard ouvert, cohérent avec ce qu’on ressent à l’intérieur. Pas un nouveau visage. Pas une transformation. Juste une clarification, comme si l’on retirait un voile devant les yeux. Pour certaines, c’est un retour à soi. Pour d’autres, une façon d’enfin tourner la page d’un air fatigué qui ne leur appartient pas.




Une intervention, plusieurs approches


On parle de blépharoplastie comme d’un seul acte, mais en réalité, il en existe plusieurs formes. Et c’est souvent là que le flou s’installe.


La version chirurgicale, d’abord, est celle qu’on connaît le plus : elle consiste à retirer l’excès de peau, et parfois de graisse, au niveau des paupières supérieures ou inférieures. C’est un acte précis, réalisé par un chirurgien esthétique ou ophtalmologiste formé, avec un temps de récupération à prévoir. Le geste est durable – souvent plus de dix ans – et les cicatrices, bien dissimulées, s’effacent avec le temps.


Mais depuis quelques années, une autre approche séduit : la blépharoplastie médicale. Moins invasive, elle combine des techniques douces, comme le laser pour retendre la peau, des injections d’acide hyaluronique pour combler les creux ou encore un léger botox pour lisser les tensions. Le tout se fait en cabinet, sans anesthésie générale, et avec une reprise de la vie sociale dans les jours qui suivent.


Là où la chirurgie enlève, la médecine esthétique recompose. Ce n’est pas une question de mieux ou de moins bien : c’est une question d’indication, de peau, de regard et de temporalité.




Le regard ne ment jamais


En médecine esthétique, le regard est une zone à part. Il concentre toutes les attentions, toutes les émotions, toutes les attentes. C’est la première chose que les autres voient. C’est aussi ce que notre cerveau décode en une fraction de seconde chez autrui : énergie, fatigue, bienveillance, jeunesse. Et parfois, le message que l’on renvoie n’est plus le bon.


Alors on agit. Non pas pour se plaire aux autres, mais pour se ressembler à nouveau. Un regard qui s’ouvre, ce n’est pas un caprice. C’est une réparation douce, un recentrage. À condition, bien sûr, que le geste soit juste, mesuré, pensé.




Ce que l’on peut espérer


Quand la blépharoplastie est bien indiquée, les résultats sont souvent bluffants. Le regard est plus vif, moins fermé. Les poches disparaissent ou s’estompent. Les cernes creusés perdent en intensité. La lumière revient dans les yeux.


Et surtout, le visage retrouve une harmonie. Pas de transformation spectaculaire. Mais cette sensation que quelque chose s’est allégé. Que le visage colle enfin avec ce que l’on ressent.


C’est une erreur de croire que ces gestes changent les gens. Ce qu’ils changent, ce n’est pas l’identité, c’est l’empreinte. L’empreinte laissée par la fatigue, le temps ou les émotions. Celle qui ne devrait pas être là. On ne fabrique rien. On restaure.



blepharoplastie

Blépharoplastie médicale : l’alternative douce… mais hautement technique



On l’appelle “blépharoplastie médicale”, comme si elle était simplement la version allégée de la chirurgie. En réalité, elle mérite bien plus que ce raccourci. Car lorsqu’elle est bien menée, avec rigueur et expertise, elle peut transformer un regard sans bistouri, sans anesthésie générale, sans cicatrice… mais avec un véritable impact esthétique.


Le Dr Jérôme Quezel-Guerraz, à Perpignan, en a fait une spécialité. Et bien plus qu’une simple adaptation des outils classiques, il a développé sa propre méthode, aujourd’hui protégée par un brevet, fruit de plusieurs années de pratique, de recherche et d’observation clinique. Son objectif ? Redonner de la fraîcheur au regard sans figer, sans déformer, sans jamais trahir l’identité du visage.


Cette technique repose sur une synergie d’actions précises, toutes réalisées en cabinet. Le laser fractionné, d’abord, vient retendre la peau en douceur, en stimulant la production de collagène. Puis des micro-injections d’acide hyaluronique viennent combler certaines zones creusées, souvent responsables d’un air fatigué, même quand on est reposé. Enfin, dans certains cas, une modulation des micro-contractions musculaires peut être proposée pour lisser subtilement la zone péri-oculaire – mais toujours avec la volonté de préserver l’émotion et la mobilité du regard.


Mais ce qui fait la différence, ce n’est pas la liste des outils. C’est la manière de les utiliser, leur dosage, leur ordre, leur profondeur, leur adaptation à chaque anatomie. C’est là que réside la force de la technique du Dr Quezel-Guerraz. Chaque protocole est entièrement personnalisé, basé sur une cartographie fine du regard, une lecture experte des volumes, et une anticipation des mouvements naturels du visage.


Le résultat n’est pas spectaculaire. Il est mieux que ça : il est juste. Le regard s’ouvre. La peau se retend sans tiraillement. L’expression s’éclaire. Et pourtant, rien n’a l’air d’avoir été “fait”.


Pour celles et ceux qui ne veulent pas de chirurgie, ou qui souhaitent une alternative progressive, plus douce, mais exigeante, la blépharoplastie médicale devient aujourd’hui une vraie réponse, à condition d’être entre de bonnes mains.


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Blépharoplastie médicale ou chirurgicale : quelles différences ?


Blépharoplastie chirurgicale

C’est une intervention pratiquée par un chirurgien esthétique ou ophtalmologue spécialisé. Elle consiste à retirer l’excès de peau et/ou de graisse, avec une incision dissimulée dans le pli de la paupière. Elle est indiquée dans les cas marqués, lorsque la correction nécessite une vraie remise en tension.


Blépharoplastie médicale

Alternative non invasive, elle repose sur une combinaison de techniques comme :


  • Laser fractionné, pour retendre la peau et stimuler le collagène,
  • Acide hyaluronique, pour combler les creux (vallée des larmes),
  • Injections de toxine botulique, pour lisser sans figer.


Elle ne remplace pas toujours la chirurgie, mais peut repousser l’échéance ou offrir une correction subtile et progressive.




Comment se déroule une blépharoplastie ?


  • Consultation initiale : analyse du regard, de la peau, des volumes.
  • Choix de la technique : en fonction des indications, du relâchement cutané et des attentes.
  • Traitement :
  • Chirurgical : en ambulatoire, avec anesthésie locale ou générale légère.
  • Médical : séance en cabinet, sans anesthésie générale.




Et les suites ?


Après une blépharoplastie chirurgicale, il faut compter :


  • 7 à 10 jours d’éviction sociale,
  • des ecchymoses et gonflements modérés,
  • une cicatrice quasi invisible à terme.


Après une blépharoplastie médicale, la reprise est quasi immédiate. Un léger œdème ou une rougeur peuvent apparaître, mais disparaissent en quelques jours.




Quels résultats attendre ?


  • Regard plus ouvert, plus lumineux
  • Atténuation des poches et des creux
  • Expression plus reposée, sans modification du regard


Les résultats sont naturels s’ils respectent la morphologie de base du visage. La surcorrection est l’erreur à éviter à tout prix : elle fige, alourdit, et peut durcir l’expression.




À quel âge peut-on faire une blépharoplastie ?


Il n’y a pas d’âge précis. Tout dépend de la gêne ressentie et de l’état cutané. Certaines personnes y ont recours vers 35-40 ans pour corriger des creux, d’autres attendent 50-60 ans pour un excès de peau plus marqué. Le bon moment, c’est celui où le regard ne vous ressemble plus.




Est-ce que les résultats sont définitifs ?


En chirurgie, les résultats tiennent 10 à 15 ans en moyenne, parfois plus. En médecine esthétique, l’effet est plus progressif et demande un entretien tous les 12 à 24 mois.




Peut-on cumuler chirurgie et médecine esthétique ?


Oui, de manière stratégique. La médecine esthétique permet d’optimiser ou entretenir les résultats d’une chirurgie. Par exemple, le laser peut améliorer la texture cutanée, l’acide hyaluronique peut corriger une légère asymétrie ou compléter la prise en charge d’un creux persistant.




Est-ce que c’est douloureux ?


  • Chirurgie : anesthésie locale ou générale légère, douleurs modérées post-opératoires, calmées par simple paracétamol.
  • Médical : quasiment indolore, parfois un échauffement ou une sensibilité transitoire.




Est-ce que c’est risqué ?


Comme tout acte médical, la blépharoplastie comporte des risques rares mais réels : infection, asymétrie, sécheresse oculaire, ptose post-opératoire. Le choix du praticien est essentiel pour limiter ces risques.




Combien ça coûte ?


  • Blépharoplastie chirurgicale : entre 2000 et 4000 €
  • Blépharoplastie médicale : entre 400 et 800 € par séance


Ces tarifs varient selon les techniques, les produits utilisés, l’expertise du médecin, et le cadre dans lequel l’intervention est réalisée.




Est-ce remboursé par la Sécurité sociale ?


Non, sauf cas très exceptionnels (gêne fonctionnelle prouvée). Dans 99 % des cas, il s’agit d’une démarche esthétique personnelle.


par Aurore Allemand 12 juin 2025
Ouvrir le regard sans le figer La blépharoplastie médicale ne se résume pas à un seul acte, mais à une approche multimodale, individualisée, reposant sur une analyse précise du regard. Chaque paramètre (relâchement cutané, perte de volume, tonicité musculaire, vascularisation) est évalué pour définir un protocole combiné. Le laser fractionné non ablatif ou ablatif (CO2 ou Erbium selon les indications) est utilisé pour induire une rétraction dermique progressive. Il stimule la néocollagénèse en profondeur, raffermit la peau des paupières supérieures ou inférieures, et améliore la texture cutanée. L’ acide hyaluronique , injecté de façon minutieuse dans les zones de creusement comme la vallée des larmes ou le sillon nasojugal, restaure les volumes perdus et atténue les ombres responsables de l’aspect fatigué. Les toxines botuliques peuvent être utilisées en complément pour moduler l’action des muscles périoculaires. Elles permettent de décrisper certaines zones (muscle orbiculaire, zone glabellaire), sans bloquer l’expression, afin d’ouvrir le regard tout en respectant la dynamique naturelle du visage. L’objectif est simple : restaurer l’harmonie du regard, sans altérer l’identité faciale. Pas de transformation visible. Juste un visage plus lumineux, plus lisible, plus en accord avec l’énergie intérieure du patient. L’impact émotionnel du regard dans la perception sociale Les neurosciences l’ont démontré : notre cerveau décode l’état émotionnel d’un individu à travers son regard en moins de 200 millisecondes. Une paupière tombante peut être associée inconsciemment à de la tristesse, un excès de peau ou une poche à de la fatigue, une asymétrie à un déséquilibre émotionnel. Ce biais perceptif a des conséquences réelles, tant sur le plan professionnel que personnel. Il n’est pas rare que des patient(e)s consultent après avoir reçu des remarques répétées : « Tu as l’air fatigué », « Tu fais la tête », « Qu’est-ce qui ne va pas ? », alors même qu’ils se sentent en pleine forme. La médecine esthétique ne vient pas « gommer les signes du temps » par principe, mais rétablir une cohérence visuelle entre ce que le patient ressent et ce que son visage exprime. Et cela commence souvent par le regard. À qui s’adresse la blépharoplastie médicale ? Elle concerne principalement les patient(e)s présentant des signes modérés de relâchement cutané ou de fatigue du regard, mais ne souhaitant pas — ou ne pouvant pas — recourir à la chirurgie. On la propose en première intention dès la trentaine ou la quarantaine , lorsque l’élasticité cutanée commence à diminuer, ou en traitement d’entretien pour des patients plus âgés. Elle est aussi particulièrement pertinente chez les patients déjà opérés (blépharoplastie chirurgicale) qui souhaitent entretenir le résultat sans retoucher au bistouri. Chaque indication doit être évaluée de manière personnalisée : qualité de la peau, phototype, profondeur des cernes, élasticité musculaire, et attentes du patient. La blépharoplastie médicale ne remplace pas la chirurgie lorsqu’un excès cutané majeur ou une hernie graisseuse importante sont présents, mais elle permet dans de nombreux cas de repousser ou d’éviter une intervention invasive . L’un des grands avantages de cette approche est sa discrétion. Les résultats sont progressifs, naturels, et parfaitement intégrés au visage. Aucun effet figé, aucune expression artificielle. Le regard semble simplement plus ouvert, plus frais, plus attentif. Et surtout, il reste vivant. C’est souvent ce qui marque les patient(e)s : les retours positifs de l’entourage, sans qu’aucun ne sache exactement ce qui a changé. Une amélioration perceptible, mais non identifiable. C’est là que réside l’élégance d’une médecine esthétique bien dosée. 
par Aurore Allemand 3 juin 2025
Un visage, trois étages : l’équilibre des proportions En esthétique, on divise souvent le visage en trois tiers : • Le tiers supérieur : de la racine des cheveux à la glabelle (entre les sourcils), • Le tiers moyen : du front au nez, • Le tiers inférieur : de la base du nez au menton. Quand ces trois parties sont équilibrées, le visage dégage une sensation de justesse, de fluidité. Mais si le front est trop court, fuyant, plat ou bosselé, c’est tout l’équilibre visuel qui est perturbé. Le nez peut alors paraître trop long, le regard trop lourd, le menton trop saillant — même si aucun de ces éléments n’est en faute. Le front, un volume à part entière Anatomiquement, le front est une surface large, plane, très expressive , qui capte immédiatement la lumière. Il varie énormément selon les individus : Certaines personnes ont un front bombé, arrondi, souvent associé à une impression de douceur ou de jeunesse. D’autres ont un front plat, fuyant ou anguleux, ce qui peut durcir les traits ou fatiguer le regard. Avec le temps, la perte de collagène et la résorption osseuse peuvent accentuer certains creux ou irrégularités, notamment au niveau des tempes et de la glabelle. Le regard paraît alors plus lourd, plus « tombant », même si les paupières sont intactes. La médecine esthétique permet aujourd’hui : de redonner du galbe à un front plat , de corriger un creux entre les sourcils , de rééquilibrer le tiers supérieur du visage avec de l’acide hyaluronique ou des neuromodulateurs (toxine botulique). Ces gestes sont précis, doux, et ne cherchent pas à “lisser à tout prix”, mais à restaurer un volume cohérent, lumineux et expressif . L’œil des artistes : ce que les peintres de la Renaissance avaient déjà vu Dès le XVe siècle, les peintres de la Renaissance italienne ont étudié le visage humain avec une rigueur quasi scientifique. Léonard de Vinci, dans ses carnets, décompose le visage selon des proportions précises. Il cherche l’harmonie divine , ce fameux équilibre dicté par le nombre d’or (1,618). Dans leurs portraits, le front occupe toujours une place très équilibrée : ni trop grand, ni trop petit, intégré dans une logique géométrique où chaque élément (ligne de cheveux, sourcils, nez, lèvres, menton) répond à une proportion mathématique. Chez Botticelli (La Naissance de Vénus), chez Raphaël ou dans les croquis de Léonard, le front est souvent lumineux, galbé, signe d’intelligence, d’élégance et d’équilibre . Ils ne l’ont jamais traité comme un espace vide.
par Aurore Allemand 20 mai 2025
Vous hésitez à franchir le pas parce que vous entendez tout et son contraire ? C’est normal. La médecine esthétique est en plein boom, mais elle n’échappe pas aux effets de mode, aux promesses marketing exagérées… ni aux grandes déceptions. Résultat : beaucoup de patient(e)s ne savent plus où donner de la tête. Alors, que peut-on réellement attendre des soins esthétiques aujourd’hui ? Et surtout : qu’est-ce qui fonctionne vraiment — et qu’est-ce qui ne marchera jamais ? Le Dr Jérôme Quezel Guerraz, médecin esthétique à Perpignan, fait le point.
par Aurore Allemand 15 mai 2025
Les fils tenseurs sont une technique non chirurgicale qui permet de retendre la peau du visage ou du cou grâce à l’insertion de fils résorbables sous la peau. Ces fils agissent à la fois comme un lift mécanique immédiat et comme un stimulateur de collagène progressif. À Perpignan, ce traitement est utilisé pour redessiner l’ovale du visage, atténuer le relâchement et améliorer la tonicité de la peau, sans cicatrice ni anesthésie générale.
blepharoplastie medicale avant apres
par Aurore Allemand 9 mai 2025
La blépharoplastie médicale est une alternative non chirurgicale à la chirurgie des paupières. Elle permet de retendre la peau des paupières supérieures ou inférieures sans bistouri, ni cicatrice. Grâce à des technologies comme le plasma ou le laser, elle stimule la production naturelle de collagène et raffermit le regard. Cette technique est proposée à Perpignan pour traiter les paupières tombantes, les ridules ou les poches légères, avec un résultat progressif, naturel et sans interruption sociale prolongée.
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Acide hyaluronique à Perpignan : ce qu’il faut absolument savoir avant une injection Vous envisagez une injection d’acide hyaluronique à Perpignan ? Voici ce que vous devez absolument savoir avant de sauter le pas. Car une injection réussie, ce n’est pas qu’un produit, c’est une main. Et un regard.
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Pour atténuer cernes, poches et relâchement des paupières, la médecine esthétique propose plusieurs solutions non chirurgicales : injections d’acide hyaluronique, peelings, radiofréquence ou encore blépharoplastie médicale au laser CO₂ fractionné. Ce dernier traitement, sans bistouri, permet de retendre la peau, lisser les ridules et améliorer la texture cutanée. Lorsque les signes du vieillissement sont plus marqués, une blépharoplastie chirurgicale peut être envisagée. Chaque regard est unique : une évaluation sur-mesure avec un praticien expérimenté permet de choisir l’approche la plus adaptée.
par Aurore Allemand 15 avril 2025
Quels résultats attendre d’un traitement de médecine esthétique à Perpignan ? Chez le Dr Quezel Guerraz, médecin esthétique à Perpignan, les résultats sont visibles, mesurables et assumés. Grâce à une approche précise et rigoureuse, il propose des soins du visage (injections, remodelage, traitement des cernes…) qui ne transforment pas, mais révèlent. Chaque geste est guidé par un objectif clair : obtenir une amélioration réelle, perceptible, et toujours naturelle. Les photos avant/après publiées par le médecin permettent de visualiser concrètement l’impact des traitements esthétiques réalisés au cabinet.
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